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Jacques Bergier

A propos de l'auteur

Jacques Bergier (1912-1978) est un ingénieur chimiste, espion pour les services secrets, journaliste et écrivain franco-polonais. Il a contribué à la promotion de diverses théories scientifiques, notamment à travers le mouvement du « réalisme fantastique ». Licencié en sciences, il se consacre à la recherche scientifique, dont la chimie nucléaire. En 1936, il découvre avec le physicien atomiste André Helbronner l'utilisation de l'eau lourde pour le freinage des neutrons et réalise la toute première synthèse d'un élément radioactif naturel : le polonium. Très vite, il développe un penchant pour l'alchimie (renforcé par une rencontre avec Fulcanelli en juin 1937) et affirme au début des années 1950 avoir obtenu par transmutation alchimique du béryllium à partir de sodium. Pendant la Deuxième Guerre mondiale, il est résistant à Lyon au sein du Trio des ingénieurs, puis du réseau Marco Polo. Après la guerre, il est capitaine de la DGER (Direction générale des études et recherches) au sein de laquelle il dirige la branche française du CIOS (Centre interarmées de contre-espionnage alliés). Il participe en 1945 à la MIST (Mission d'information scientifique et technique) et à des missions secrètes en Allemagne afin d'interroger des savants atomistes et de trouver des armes secrètes. Dès 1968, Bergier évoquera l'espace des ordinateurs, conçu alors comme une prise de calcul (avec moniteur, clavier, copieur, et traitement de texte) mais aussi de la nécessité d'un fournisseur d'accès, des moteurs de recherche, de la naissance de l'« élément portatif » et de la protection des données sensibles. Il maîtrisait 14 langues modernes et anciennes (dont l'araméen) et était doté d'un Q.I. de 160. Il meurt à Paris le 22 novembre 1978 d'une hémorragie cérébrale.
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