Salves courtes, mots posés, pas une histoire mais cent. Des bribes de lumières posées noires sur la feuille. Des voyages et des ondes, personnages, natures, des instants qui nous marquent.
On se retrouvera dans ces pages qui disent comment étaient les villes, où dormaient les campagnes, ce que disaient des hommes, des femmes, des enfants au fil des saisons. Du bonheur, de la peine, la vérité toujours pour moteur principal.
Ce n’est pas un roman. Pas de trafic autour de sentiments portés au gré de vagues frêles, mais des sons, des images et quelques tourbillons qui en surprendront plus d’un, s’ils marchent avec patience au fil des séquences.
Nulle course : des rythmes, des parfums, des audaces pour laisser sur papier la trace des années qui suivront ceux qui montent au versant des collines.
C’est une invitation à rester yeux ouverts sur le chemin des jours et à montrer à tous le bonheur des détours que la vie offre à ceux qui l’accueillent en cœurs libres.

Olivier Vigna aime les grands espaces, le temps long, la musique. Il a publié L’Appendice des jours (Quidam Editeur, 2004), Les nuits froides (Editions Alphée, 2010), Les Visages du vent (Edilivre, 2010), Regarder le soleil (L’Harmattan, 2012) et Paroles (Kindle, 2019