Le récit de son propre parcours donne l'occasion à l'auteur, né en 1944, de commenter les événements sociaux et politiques en France, des années 1950 jusqu'au début du XXIe siècle.

4e de couverture :

Autant t’annoncer tout de suite la couleur, cher lecteur : ce bouquin n’est pas innocent.
Il commence tout doux avec des souvenirs gentillets de quidam, puis te prend progressivement des allures de moins en moins lestes sur un tas de sujets persos, généraux surtout.
Au total, ce livre léger a son poids. C’est un témoignage, un peu vachard peut-être.
Son auteur ? Un gars né début 44, sous Pétain, avec Adolf au Pouvoir, blessé à mort mais encore maître de la moitié de l’Europe.
Un gars élevé en grande partie par des gens simples nés au XIXe siècle. Ça l’a marqué.
Un gars qui a traversé la Libération, l’après-guerre, les Trente Glorieuses, Mai 1968, les Trente Piteuses, qui a fait son chemin, qui a voyagé, et qui, l’âge venant, songe surtout à l’avenir.

Il s’interroge : quel chemin, quel bilan, quelles perspectives ?Il sait que chaque génération d’Européens a connu sa part de tourne boulette depuis au moins deux siècles, mais constate que la sienne s’est surpassée. Elle a bouleversé non seulement le comment, mais plus encore le pour quoi. Sa génération a fait du boulot, on ne peut pas dire le contraire !

Reste à apprécier, jauger, juger. Il a son opinion, un peu râpeuse. Il te la sert, sans sauce ni sucres ajoutés.
À toi, jeune lecteur, de te faire une opinion. C’est toi qui vas jouir ou payer, jouir peut-être,
payer sûrement. Mais tout de suite un conseil : serre les fesses, et surtout attache ta ceinture !

Message de toute dernière heure : Le pire n’est pas certain, il n’est que probable. Ouf !

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