Site en cours de mise à jour de stock, si vous ne trouvez pas une référence, n'hésitez pas à nous contacter directement à lesrebellesordinaires@gmail.com

Les Rebelles Ordinaires Les Rebelles Ordinaires Les Rebelles Ordinaires Les Rebelles Ordinaires
   Le Conseil Magique

Tapez un titre ou le nom d'un auteur que vous aimez,
sélectionnez le et une liste de conseils apparaîtra par magie

Je cherche un titre en particulier

M'alerter de la parution de ce titre

Résumé

Pour éprouver les sentiments de celui que son père lui destine, Silvia échange sa place avec sa servante Lisette. Mais ce qu'elle ignore, c'est que Dorante, son prétendant, a eu la même idée et qu'il se présente à elle sous les traits de son valet Arlequin !…
Dans cette comédie amoureuse, où les obstacles ne sont pas le fait d'un père autoritaire, de l'argent ou du milieu social, mais des cœurs mêmes, Marivaux explore les méandres du cœur humain et nous donne à entendre une voix féminine qui, par le jeu, veut éprouver l'amour en refusant le hasard.

Bibliolycée propose :
• le texte intégral annoté,
• un questionnaire bilan de première lecture,
• des questionnaires d'analyse de l'œuvre,
• sept corpus accompagnés de questions d'observation, de travaux d'écriture et de lectures d'images,
• une présentation de Marivaux et de son époque,
• un aperçu du genre de l'œuvre et de sa place dans l'histoire littéraire.

L'Auteur

  • Pierre Marivaux (auteur)

    Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux est issu d’une famille de noblesse de robe. Il naît à Paris en 1688, mais grandit à Riom (Auvergne) où son père Nicolas Carlet occupe la charge de contrôleur puis de directeur de la Monnaie (1704-1719), charge obtenue grâce au soutien de la famille de son épouse, plus aisée : Anne-Marie Bullet, dont le frère, Pierre Bullet, est architecte royal.Après des études classiques, Pierre Carlet revient à Paris et s’inscrit à la faculté de droit (1710) dans l’intention de devenir avocat et de succéder à son père comme fonctionnaire royal. Mais dès son arrivée, il fréquente les milieux artistiques et intellectuels, notamment le salon de Mme de Lambert où il ne tarde pas à rallier le camp des Modernes rassemblés autour du philosophe Fontenelle. Grâce au soutien de ce dernier, il publie sa première pièce, Le Père prudent et équitable, ainsi que son premier roman, Les Effets surprenants de la sympathie (1713), et rejoint le groupe des Modernes dans la rédaction du journal Le Nouveau Mercure (1717).Marivaux vient de débuter une carrière d’écrivain quand il épouse Colombe Bollogne, fille d’un avocat « conseiller du roi » : elle lui apporte une dot qui partira en fumée dans la banqueroute du financier Law (1720). Complètement ruiné, Marivaux, à qui l’on vient de refuser la succession de son père, devient un homme de lettres professionnel. Tout en conservant ses habitudes mondaines, il poursuit sa carrière entamée dans ses trois domaines de prédilection. Il crée son propre journal, Le Spectateur français (1721), puis L’Indigent philosophe (1727) et Le Cabinet du philosophe (1734), avant de revenir au Mercure (1751-1758). Dans le même temps, il écrit pour le Théâtre-Italien vingt-sept comédies en prose (dont dix-huit en un acte) et presque autant pour le Théâtre-Français et les théâtres de société. Il publie encore deux romans inachevés : La Vie de Marianne, dont la parution s’étend sur dix ans, et Le Paysan parvenu, deux autobiographies fictives tout aussi originales dans leurs techniques narratives que dans le choix des vies racontées. Après son élection à l’Académie (1742) – gagnée contre Voltaire –, il se consacre aux séances du dictionnaire et à l’écriture de discours académiques, en forme de « réflexions » morales ou esthétiques.En 1744, après plus de vingt ans de veuvage, il s’installe avec Mlle de Saint-Jean dans son hôtel particulier, tandis que sa fille unique, faute de dot, entre au couvent. Si sa production théâtrale se ralentit, ses pièces anciennes sont constamment reprises par les Italiens (L’Île des esclaves, 1757) et les Comédiens-Français (La Surprise de l’amour, 1763). Certaines, trop audacieuses, n’ont pas encore trouvé leur public du vivant de Marivaux, telle La Colonie, publiée en 1750. Du moins, comme l’avait prévu Fréron (critique littéraire, 1718-1776, auteur de pamphlets contre Voltaire), « la postérité jouira de ses écrits », mais elle n’aura pas comme ses contemporains « l’avantage d’en posséder l’auteur, d’admirer en lui l’accord heureux des talents et des vertus, et de trouver dans l’écrivain estimable le galant homme et le citoyen le plus digne d’être aimé ».

Auteur(s) : Pierre Marivaux

Infos techniques

Editeur : HACHETTE EDUC

Auteur(s) : Pierre Marivaux

Publication : 19 novembre 2003

Intérieur : Noir & blanc

Support(s) : Livre

Poids (en grammes) : 200

Langue(s) : Français

Code(s) CLIL : 3038, 4141, 4142

EAN13 Livre : 9782011687043

Dans la même thématique

--:-- / --:--