Il y avait un Canaletto suspendu dans le salon. Il y avait un Matisse faisant un clin d'œil au chien. Telle était la patrie de la grand-mère de Felicia, preuve profonde d’une sophistication culturelle majeure qui a éclairé son talent et a donné naissance à la perception de Felicia.Le plus passionnément évident dans les images de Felicia est son talent séduisant pour vivre dans le moment présent. Cette collection a une fascination ironique pour tout ce qui respire et scintille à la lumière surréaliste du temps qui passe.Depuis 35 ans que je la connais, elle utilise le Leica et maintenant le Sony pour enregistrer son appétit féroce pour les gens, les lieux et les objets.... jette un coup d’œil aux expériences qu’elle a vécues à Paris, New York, Martha’s Vineyard et à Arles, en France.Toutes les choses sont intimes pour un oeil curieux, comme chacune de ces images présentés ont des indices sur un monde intérieur... le monde des yeux de Felicia et le monde de ceux qu’elle perçoit. Nous avons le privilège d’être doués de ses visions aiguës, car ils parlent d’endroits où la plupart ne vont pas. Il suggère une bohême éternelle maintenant presque disparue, mais fixée par l'image.La vie de Felicia nous invite à flotter librement dans cette collection joyeuse et triste. Une rêverie d’images conservant toute sa valeur, alors qu’elle danse sur le bord avec une joie de vivre existentielle....Larry Fink