Né à Paris en 1952, entre dans l’ordre des dominicains en 1974. Enseignant (Toulouse, Lyon, Marseille), théologien (« Marie, un parcours dogmatique », Cerf, 2003), est avant tout l’un des poètes catholiques contemporains les plus originaux de ce début de siècle. Dans la lignée de Jean Mambrino, Pierre Emmanuel, Paul Claudel, La Tour du Pin… Est aussi traducteur. Un phare discret dans le microcosme de la poésie, depuis Initiales du désastre obscur (SGDP, 1972) jusqu’à Un chant dans la pierre (Nouvel Athanor, 2010), en passant par Les carnets du veilleur, 1974, Chant du brûlant amour, La joie patiente, Un pain de larmes, Lumière d’arbre…


La poésie de Dominique Cerbelaud est trouée de lumière, Pierre Emmanuel disait qu’elle tendait vers un silence plein comme perfection de la parole dite, et Jean Mambrino parle de veilleur qui attend l’aurore. Jean-Luc Maxence a toujours défendu et promotionné ce poète en qui il voit un frère spirituel de Jean Grosjean !