Le jeune arbre et la tempête, récit à début exposé aux doutes de l'existence illustrée de l'être végétale face à la tempête pour une fin à la longueur des faits sociaux, religieux et politiques. Dans le corps de sa pensée l'auteur essaie de persuader au mieux le lecteur des réalités de la vie avec le récit de ses vaincues en terre étrangère, et dénonce d'un côté les mauvaises pratiques de la religion en Afrique comme pour le cas de sa propre confession le christianisme au travers duquel l'analyse constitue aujourd'hui l'un des effets nocifs contre le développement du continent et de ces victimes mais plutôt bien un paradis fiscal pour les meneurs de ces genres de pratiques. De l'autre côté il évoque la question de l'avenir de l'Afrique au regard de la religion et de la politique car pour le jeune auteur ce dernier semblerait encore jeune face aux multiples vents de contre épanouissement, ainsi le respect des bonnes pratiques de la religion et de la politique serait comme des pieds sur lesquels l'Afrique pourrait au mieux se tenir début. S'Il n'y pas de foule dans des églises allez la trouver dans les partis politiques, tel semble le courant de vie Africain.