SOMMAIRE Avant-proposPremière partie : De l'ennui des Muses au plaisir d'Acante (autour de "Clymène" pli critique)I -- L'argument de "Clymène" : glissements progressifs de l'ennui...II -- Le Parnasse en question : une "crise de vers" de Jean de La Fontaine ? III -- Un Parnasse pour les Modernes ? Les clairs obscurs du NouveauIV -- Le Parnasse de "Clymène" : une allégorie de la Maintenance dans les Lettres ? Deuxième partie : L'hypothèse d'une relation : épicurisme et crise du lyrismeI -- Les nouvelles muses et le jardin. Parnasse néo-épicuriens, fictions d'autonomie et politiques du plaisirII -- Jardins et "art de l'éloignement" : latéralité du Parnasse néo-épicurienIII -- Ennui du lyrisme, rhétorique du plaisir et "machine à gloire"IV -- Les muses savantes entre poésie, fable et philosophieTroisième partie : Les métamorphoses de l'évidence, variations sur le statut de la philosophie dans les FablesI -- L'évidence d'une distanceII -- Evidences anti-cartésiennes, éléments pour une philosophie de l'imaginationIII -- La part du jeu. La philosophie à l'épreuve de la fable Epilogue -- Indications bibliographiques