Site en cours de mise à jour de stock, si vous ne trouvez pas une référence, n'hésitez pas à nous contacter directement à lesrebellesordinaires@gmail.com
Tapez un titre ou le nom d'un auteur que vous aimez,
sélectionnez le et une liste de conseils apparaîtra par magie
Après avoir évoqué, dans La Corde raide, son adolescence dans une Vienne encore heureuse, la Palestine des premiers kibboutz, la bohème journalistique du Berlin des années 1920, Arthur Koestler fait revivre dans ce volume l'euphorie de son adhésion au communisme, quand les lendemains chantaient en U.R.S.S. ; et que, comme l’annonçait Trotsky « le citoyen moyen de la société sans classe » qui s’édifiait à l’Est allait « s’élever au niveau d’un Aristote, d’un Goethe, d’un Marx ».
« Les sept ans d’aveuglement qui frappèrent l’Occident de 1932 à 1939 furent un des phénomènes les plus remarquables de l’histoire. Il eût fallu, à des gens élevés dans les traditions de l’Occident, une puissance d’imagination peu commune pour admettre et se représenter la renaissance de la torture médiévale et de l’esclavage antique. Il fallait un effort intellectuel plus grand encore pour croire à la réalité des plans nazis et communistes de conquête du monde par la conspiration et la terreur ». Cette incrédulité devant l’incroyable fut le fait le plus général de cette « Nuit de Sept ans » qu’Arthur Koestler, désormais désillusionné, évoque dans ce troisième tome de son étonnante autobiographie.
Editeur : Les Belles Lettres
Publication : 21 octobre 2013
Edition : 1ère édition
Intérieur : Noir & blanc
Support(s) : Livre broché
Poids (en grammes) : 655
Langue(s) : Français
Code(s) CLIL : 3287
EAN13 Livre broché : 9782251200392
9,50 €
12,90 €