Une rencontre, 3 artistes.
La ville CENDRAR est peuplée d’histoires, d’histoires sans joie.  D’une mère célibataire neurasthénique, d’un brasero au bord de la crise de nerfs. On prend l’eau, jusqu’à ce qu’un  pyromane de ville marchande ne vienne tout emporter. Même si on se laisse bercer par cette poésie des ruines,  où la lampe de chevet,  le jean’s seconde main,  la canette de Red Bull et nos chaussettes orphelines offrent leurs derniers chants,  on entend aussi l’appel à se rassembler et monter sur nos «Paupières bateaux» vers des terrains vierges.
Un lieu renouveau où l’ont pourrait tendre l’oreille aux piallements des oiseaux...
Saisir l’appel de la dernière chance au risque de finir tel qu'ils le prophétisent dans le titre dystopique "Mes prochains" : « Mes prochains seront des légendes, auto entrepreneuses, autoproclamées : des destins d’étiquettes.»