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Arana, José Ramón

A propos de l'auteur

José Ramón Arana (1905-1973), pseudonyme de José Ruiz Borau, est né à Garrapinillos (province de Saragosse). Très jeune, il entre en contact avec les cercles littéraires de la ville et publie ses premiers poèmes. Après avoir fait plusieurs métiers, il se marie et part travailler dans une fonderie à Barcelone. Il adhère à la CNT tout en acquérant une vaste culture autodidacte dans les clubs libertaires. Au bout de cinq années, il revient à Saragosse et devient employé de banque. Il s’affilie à l’UGT et entrera au comité central socialiste d’Aragon.
Le début de la guerre civile, le trouve à Monegrillo, village d’origine de sa famille maternelle. Là il assiste à l’arrivée des colonnes des miliciens anarchistes et fait fonction d’instituteur. Par la suite, il se rend à Lérida et lorsque se constitue le Conseil d’Aragon, il est nommé conseiller (ministre) aux Finances. C’est alors qu’il entame une relation avec María Dolores dont il prendra le nom sous lequel il signera la majeure partie de son œuvre littéraire. Son voyage en URSS, comme représentant du Conseil d’Aragon est à l’origine de son premier livre : Apuntes de un viaje a la URSS (Notes d’un voyage en URSS). La guerre terminée en Espagne, il passe en France où il est interné au camp de Gurs. Il parvint à s’en échapper et part pour l’Amérique, où il s’établit d’abord à Saint-Domingue puis au Mexique où il devient vendeur de livres. Il commence alors à publier des collections de poèmes et s’affirme comme animateur culturel, en participant entre autres à la fondation de l’Ateneo Español de México et en promouvant la création de maisons d’éditions et de revues littéraires, telles que : Aragón, Ruedo Ibérico y Las Españas, cette dernière constituant l’une des plus importantes de l’exil espagnol au Mexique.
En 1968 il commence à souffrir de problèmes de santé et son désir de retourner en Espagne augmente. Il ne pourra y parvenir qu’en 1972.
Il publie alors la première partie de ses mémoires, Can Girona, qui n’eurent pas de suite puisque sa tumeur au cerveau l’emporta.
Il repose à Monegrillo, qui est en fait, l’Almuniaced de ce livre.

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